L'histoire du joli forain
--> début et (fin)
Il était une fois un joli forain et une agente d'accueil qui se sont rencontrés autour d'une grande roue.
Ça commence bien une histoire d'amour, non?
Alors pourquoi la vie n'est-elle jamais un roman de Jacques Poulin ou une comédie romantique? Pourquoi est-ce qu'au dernier moment personne ne court pour rattraper son erreur? J'aurais bien aimé, moi, que le joli forain envoie balader la nabote pour dire à l'agente d'accueil de rester encore un peu. J'aurais aimé une fin de sentiments non dévoilés où les deux amoureux partent chacun de leur côté avec leur mystère et le visage de l'autre en tête.
Que voulez-vous, je suis comme ça.
Une romantique finie qui ne s'assume même pas.
Parce que oui, j'aurais aimé la balade dans la roue, les grandes déclarations enflammées, les je te suivrai au bout du monde ou les je reste ici avec toi, oui, j'y ai pensé, tout en sachant parfaitement que c'était totalement impossible. Voilà, c'est avoué.
Et vous savez quoi?
Le joli forain et l'agente d'accueil ne se sont échangés plus de dix phrases durant ces six jours. Ils ne savent rien l'un de l'autre.
Et vous savez quoi encore?
Je m'en fous.
C'est mon histoire, je fais ce que je veux. Je peux la prolonger à l'infini, je peux modifier les lieux, le temps, j'ai tous les pouvoirs. Je peux tout faire. Parce que c'est dans ma tête.
Et dans ma tête, la fin est heureuse.
Point final.
Ça commence bien une histoire d'amour, non?
Alors pourquoi la vie n'est-elle jamais un roman de Jacques Poulin ou une comédie romantique? Pourquoi est-ce qu'au dernier moment personne ne court pour rattraper son erreur? J'aurais bien aimé, moi, que le joli forain envoie balader la nabote pour dire à l'agente d'accueil de rester encore un peu. J'aurais aimé une fin de sentiments non dévoilés où les deux amoureux partent chacun de leur côté avec leur mystère et le visage de l'autre en tête.
Que voulez-vous, je suis comme ça.
Une romantique finie qui ne s'assume même pas.
Parce que oui, j'aurais aimé la balade dans la roue, les grandes déclarations enflammées, les je te suivrai au bout du monde ou les je reste ici avec toi, oui, j'y ai pensé, tout en sachant parfaitement que c'était totalement impossible. Voilà, c'est avoué.
Et vous savez quoi?
Le joli forain et l'agente d'accueil ne se sont échangés plus de dix phrases durant ces six jours. Ils ne savent rien l'un de l'autre.
Et vous savez quoi encore?
Je m'en fous.
C'est mon histoire, je fais ce que je veux. Je peux la prolonger à l'infini, je peux modifier les lieux, le temps, j'ai tous les pouvoirs. Je peux tout faire. Parce que c'est dans ma tête.
Et dans ma tête, la fin est heureuse.
Point final.
Croqué par Petit ange, le Lundi 4 Août 2008, 03:52 dans le sac de coeurs à la canelle.
Vous :
Re:
Mais quand on connaît le personnage, un simple Feriez-vous la tournée d'automne avec moi? (bon, c'est pas exactement ça qu'il dit, mais c'est ce que ça veut dire) a le même effet...
Je ne m'en lasserai absolument jamais.
Je ne m'en lasserai absolument jamais.
Ça commence à me lasser, d'ailleurs.