Je n'ai rien à me faire pardonner
--> fuck les majuscules
Je ne m'agenouille devant personne.
Je ne baisse la tête devant personne.
Lorsque j'ai quelque chose à me faire pardonner, c'est auprès de quelqu'un, et pas auprès d'un stupide dieu en majuscules.
Je ne donne pas de l'argent contre mon gré dans un panier à longue tige.
Je ne prie pas. D'ailleurs, je ne sais même pas quoi dire.
Je ne me lève pas parce qu'un vieux schnock en robe blanche me le dit.
Je ne bouffe pas de cochonneries qui viennent d'on-ne-sait-où parce que ceci est ma chair.
...
Je me fous de la religion. Ça sent le renfermé.
Point à la ligne.
Je ne baisse la tête devant personne.
Lorsque j'ai quelque chose à me faire pardonner, c'est auprès de quelqu'un, et pas auprès d'un stupide dieu en majuscules.
Je ne donne pas de l'argent contre mon gré dans un panier à longue tige.
Je ne prie pas. D'ailleurs, je ne sais même pas quoi dire.
Je ne me lève pas parce qu'un vieux schnock en robe blanche me le dit.
Je ne bouffe pas de cochonneries qui viennent d'on-ne-sait-où parce que ceci est ma chair.
...
Je me fous de la religion. Ça sent le renfermé.
Point à la ligne.
Croqué par Petit ange, le Dimanche 10 Août 2008, 02:45 dans le sac de petites boules rouges.
Vous :
Re:
Y'a pas de préjugées. Je reviens d'un enterrement, et c'est exactement comme ça que ça s'est passé.
Ça m'arrive, d'avoir envie de me faire pardonner, peu importe quoi
J'ai mal aux genoux quand je suis trop longtemps debout.
Je préfère aussi les regarder dans les yeux.
Lorsque j'ai envie de me faire pardonner, c'est dans le reflet du bois verni que j'arrive le mieux à avoir une vraie discussion avec moi-même, parce que c'est mon miniscule moi qui peut me pardonner.
Je ne donne pas d'argent contre mon gré.
Je ne prie pas. Je me parle. Je me laisse aller.
Je me lève par respect, et parce que ça fait du bien de se tenir droit un peu, d'évaluer notre taille par rapport à ces immenses pierres.
Je me rasseois quand tout le monde se lève. Je ne me mets pas en file, elle avancera plus vite pour eux.
. . .
Pas moi, et j'adore l'odeur.
Je préfère aussi les regarder dans les yeux.
Lorsque j'ai envie de me faire pardonner, c'est dans le reflet du bois verni que j'arrive le mieux à avoir une vraie discussion avec moi-même, parce que c'est mon miniscule moi qui peut me pardonner.
Je ne donne pas d'argent contre mon gré.
Je ne prie pas. Je me parle. Je me laisse aller.
Je me lève par respect, et parce que ça fait du bien de se tenir droit un peu, d'évaluer notre taille par rapport à ces immenses pierres.
Je me rasseois quand tout le monde se lève. Je ne me mets pas en file, elle avancera plus vite pour eux.
. . .
Pas moi, et j'adore l'odeur.
Re: Ça m'arrive, d'avoir envie de me faire pardonner, peu importe quoi
Tu fais ce que tu veux, moi, j'ai essayé, et j'ai détesté...
Re: Ça m'arrive, d'avoir envie de me faire pardonner, peu importe quoi
Et moi, j'ai vu un vieux schnock avec un air de grand-papa, dans une église en bois rond, qui avait une guitare (ou était-ce un accordéon?), et qui parlait de sa grand-mère et qui nous faisait chanter en choeur. Mais bon, Noël et un enterrement, les cathos et les protestants, c'est le jour et la nuit...
Je découvre ton blog à l'instant et il me plait bien avec tous ces bonbons...