dans tout le corps, tu célèbres la vie.
à un existant d'oublier qu'il existe.
J'ai un devoir.
Un devoir d'écriture.
All around me are familiar faces
Worn out places - worn out faces
Bright and early for their daily races
Going nowhere - going nowhere
And their tears are filling up their glasses
No expression - no expression
Hide my head I want to drown my sorrow
No tommorow - no tommorow
And I find it kind of funny
I find it kind of sad
The dreams in which I'm dying
Are the best I've ever had
I find it hard to tell you
'Cos I find it hard to take
When people run in circles
It's a very, very mad world,
mad world
Children waiting for the day they feel good
Happy Birthday - Happy Birthday
Made to feel the way that every child should
Sit and listen - sit and listen
Went to school and I was very nervous
No one knew me - no one knew me
Hello teacher tell me what's my lesson
Look right through me - look right through me
And I find it kind of funny
I find it kind of sad
The dreams in which I'm dying
Are the best I've ever had
I find it hard to tell you
'Cos I find it hard to take
When people run in circles
It's a very, very mad world,
mad world...
Le monde est tellement fou
Ce monde, j'en aurais fait cadeau
Heureusement, tu changes tout
La nuit, y fait jamais chaud
La nuit, c'est comme un loup
Le loup voulait ma peau
Heureusement, tu changes tout
Mon ange
Il est temps que je change le visage de mon dieu
Veux-tu étendre ta beauté sur mes brûlures?
Mon ange
Les anges ont tes yeux, tes blessures
Si tu savais tout ce que j'te jure du fond de mon armure
Ce monde sera jamais beau
Il n'est pas pour nous
Si au moins la nuit je peux toucher ta peau
Le reste je m'en fous
Mon ange
Il est temps que je change le visage de mon dieu
Veux-tu étendre ta beauté sur mes brûlures?
Mon ange
Les anges ont tes yeux, j'en suis sûr
Si tu savais tout ce que j'te jure, du fond de mon armure
J't'attendais dans l'oubli
Sans but, sans patrie
Comme un gars fini
J'avais pus l'goût d'avancer
Pus l'goût d'exister
Heureusement tu changes tout
Mon ange
Il est temps que je change le visage de mon dieu
Veux-tu étendre ta beauté sur mes brûlures?
Mon ange
Les anges n'ont pas tous les yeux purs
Si tu savais tout ce que je te jure, du fond de mon armure
Lettre à ma descendance
À toi qui porteras mon nom à travers les âges
Toi qui prolongeras ma main en terre de Nouvelle-France
Si je te lègue un bien lourd bagage
Comme un mauvais sort, une mauvaise chance
Si tu hérites, sans l'avoir mérité
D'un passé criblé de défaites
D'un pays mille fois rêvé
Qui n'existe que dans la tête
Si tu dois te battre sans relêche et sans cesse
Pour ta langue et ta survivance
Alors, voici les armes pour ton combat
Que ta résistance se fasse par le chant et par la danse
Dans la parole et dans le geste tu forgeras ta foi
Comme le dira celui qui sera à la fois
Le poète, le chantre et le roi
« Je te propose le plus doux des combats:
Chante!
Chante et le Québec ne mourra pas »
...
?
Vingt histoires à murmurer, à partager
Vingt manières de rire et de s'émouvoir
Vingt prétexte pour penser à ce que l'on oublie et pour voir ce que l'on cache
Vingt chemins pour aller du plus léger au plus sérieux, du plus grave au plus doux
Vingt façons de se souvenir de ce que l'on a été et de rêver à ce que l'on sera
Vingt regards pour saisir le monde, dans sa lumière et dans ses ombres
Vingt raisons de rester des enfants ou de le redevenir
Vingt sourire
Vingt bonheurs
Vingt battements de coeur
Et en prime, une double ration bleue de Poulin ainsi qu'un peu de poussière dans les yeux.
Après une longue absence, elle me disait qu'elle ne m'abandonnait pas...
Tourbillon de mots étrangers...
*
- À quoi?
- À être responsable de la réponse.
Qu’est-ce’ tu dirais si j’te disais
Qu’ça feel pas fort
J’ai l’impression d’aller nulle part
J’passe te prendre pour un trip de char
Rouler sans but pis prendre le bord
Voir une rivière
Closer que’que part, dormir dehors
Étirer un peu l’éphémère
Pas attendre qu’on soit raide mort
Pour se voir
Y m’semble qu’on est dû pour se boire
Une couple de verres dans l’blanc des yeux
Se dire qu’on s’aime après que’que bière
J’m’ennuie d’nous deux
De toi mon vieux
Comme dans l’temps
Comme dans l’temps
Comme dans l’temps
Le monde vit mal
Étouffé par peur d’anormal
Correctement politisé
Légalisons l’illégalité
Le temps d’une virée
Y m’semble qu’on est dû pour se boire
Une couple de verres dans l’blanc des yeux,
Se dire qu’on s’aime après que’que bière
J’m’ennuie d’nous deux,
De toi mon vieux